J’ai profité des vacances pour rendre visite à une #association dont je suis le projet depuis longtemps, et qui a restauré une belle abbaye du moyen-âge à partir de ruines. Cette association vit un tournant puisqu’elle doit transformer le projet initial de restauration en un autre projet, qui se cherche.
Ce qui m’a frappé, c’est qu’en discutant avec tel ou tel membre, certains étaient porteurs de projets vraiment intéressants et se demandaient comment l’amener dans le collectif. Sans bien voir comment.
Cela me renvoyait à une question assez vitale pour les organisations #ess : Comment donne-ton le droit, encourage-t-on des expérimentations, des explorations individuelles, y compris quand elles sont décalées ? Y compris quand il y a des risques réels d’échec ? Le projet collectif s’en nourrit, et j’ai souvent constaté que les organisations qui durent, qui construisent des projets forts sont celles qui encouragent, accompagnent, débriefent les expériences et les intuitions individuelles.
Faisons-nous des constats similiaires dans nos équipes ? Est-ce facile à mettre en œuvre ?